Atelier Energies et Santé - "Stratégies pour une santé optimale"


Parlons santé   (3)

Recherche de l'origine des maladies,

le terrain, les "miasmes",
les diathèses homéopathiques.


Il est communément admis maintenant que les médicaments conventionnels ne réussissent pas à contrecarrer les causes profondes des maladies, mais uniquement à supprimer certaines de leurs manifestations extérieures.
Depuis les travaux de Béchamp, d'Enderlein et de bien d'autres, il est également admis (enfin, par presque tout le monde !) que, selon la célèbre phrase de pasteur à ses derniers jours :

"Béchamp avait raison, le microbe n'est rien, le terrain est tout"...



Malheureusement, chaque fois qu'un symptôme (fièvre, écoulement, éruptions..) est supprimé de façon radicale par la prise d'antibiotiques ou autres "médicament" chimique puissant, la maladie ne pouvant "éclore", va se mettre en veilleuse et "s'enterrer" profondément dans l'organisme en affaiblissant toujours plus le "terrain".


Tout traitement initial par antibiotique crée des foyers d'incrustation. AUCUN antibiotique n'est capable d'éradiquer complètement un microbe. Il se crée TOUJOURS des enkystements, des foyers localisés qui diffusent en permanence leurs toxines dans l'organisme, même si l'action microbienne n'est pas active. Ainsi, nos maladies deviennent chroniques et nous puisons continuellement dans nos réserves d'énergie vitale.


D'autre part, au cours des siècles et millénaires passés, les grandes maladies, les grandes épidémies qui ont fait des ravages dans les populations ont laissé des traces profondes et des mémoires incrustées dans les organismes ET dans le subconscient de ceux qui en réchappaient, mémoires transmises à leurs descendants.

Ces épidémies ont également généré des peurs collectives terribles et incontrôlables, elles étaient presque toujours considérées comme des punitions divines, car en général celui qui était touché en mourait, tout en commettant la faute impardonnable de transmettre la maladie et la mort dans son entourage.
Il ne faut pas sous-estimer l'importance des traumatismes physiques et psychiques ainsi transmis aux générations suivantes... ces traumatismes se sont également "enkystées" dans nos mémoires collectives, créant des "conflits de culpabilité" qui se sont transmis de génération en génération, par imprégnation pendant la gestation.

Personnellement, j'y ajoute sans aucune hésitation l'influence importante de l'infestation par des "entités", le stress qu'apporte cette présence, mais aussi les "mémoires" et nocivités accumulées au fil du temps et dont ces entités sont porteuses... et qu'elles transmettent...
Voir les pages Dossier "entités"






Il y a deux cents ans,

La psore


La sycose


La luèse


Le tuberculinisme ou latentia
    Extrêmement répandu, le tuberculinisme est également l'un des plus ancien miasme, la tuberculose ayant déjà fait des ravages dans un très lointain passé.

    En 1910, le chilien Fontès signale la présence d'éléments invisibles et filtrables dans les produits tuberculeux, qu'il appelle ultra-virus filtrant. Ces éléments doivent être considérées comme étant les formes les plus basses faisant partie du cycle évolutif du bacille tuberculeux (cycle d'Aspergillus Niger). Cet ultra-virus se retrouve dans 76% des cas dans le sang du cordon des nouveau-nés d'accouchées tuberculeuses.
    Il est donc facile de reconnaître l'influence de l'hérédité dans le développement de la tuberculose. Cet état constitue en fait le tuberculinisme qui n'est pas, comme la tuberculose, une maladie.
    C'est un état caractérisé par la présence plus ou moins grande dans les humeurs d'une toxine ou d'un virus extrêmement répandu, transmissible par hérédité et susceptible de rester la plupart du temps comme un saprophyte inoffensif.

    C'est en fait la «maladie» la plus répandue dans le monde puisque selon certaines statistiques, il s'agit d'une affection bénigne qui atteint 9 adultes sur 10, sans se révéler par aucun symptôme apparent.
    Il existe donc une infection faite de formes pré-bacillaire des populations citadines dont il n'est pas excessif de dire qu'elle est une pandémie.
    Cette infection, dans l'immense majorité des cas, n'évolue à aucun moment vers une tuberculose pulmonaire confirmée.

    Le tuberculinisme est donc la conséquence de l'action de l'ultra-virus tuberculeux sur le mésenchyme, et responsable de réactions réticulo-endothéliales et endocriniennes qui caractérisent ce terrain. C'est cette prédisposition latente (que les auteurs allemands ont appelé Latentia) qui peut durer toute une vie sans donner lieu à aucune manifestation pathologique importante.
    Dans ce processus normal, biologique, naturel, une lésion où viendront apparaître des B.K. n'est alors qu'une conséquence accidentelle de cet état.
    C'est là toute la différence qui existe entre le tuberculinisme et la tuberculose.

    Les "signes capitaux" du tuberculinique :

      L'aspect clinique du tuberculinique se caractérise essentiellement par son polymorphisme et par l'extrême variabilité des symptômes, souvent par les métastases morbides.

    • Maigreur ou amaigrissement inexpliqués, lassitude, fatigue.
    • Chez les enfants ou les adolescents, manque d'entrain, douleurs dites de croissance, déminéralisation avec phosphaturie fréquente, caries dentaires, taches blanches sur les ongles. Croissance rapide, maigreur...
    • Chez la jeune fille et la femme, troubles ovariens : dysménorrhée, irrégularité du cycle, souvent leucorrhée, puberté retardée...
    • Etats fébriles sans cause déterminée : soit fébricule ne dépassant pas 38 , d'une seule tenue, ne pouvant s'expliquer, soit simple instabilité thermique se traduisant tantôt par la fréquence de petites poussées fébriles sans cause apparente, tantôt par l'élévation thermique déclenchée par un effort relativement faible.
    • Atteinte fréquente du système lymphatique : microadénopathies, végétations adénoïdes, hypertrophies amygdaliennes
    • troubles circulatoires périphériques, cyanose des extrémités, avec tendance au livido, acrocyanose, engelures, congestion veineuse périphérique.
    • Palpitations, essoufflement rapide, hypotansion artérielle, intolérance à la chaleur ambiante, au chauffage par le sol, aux asthmosphères confinées.
    • Troubles importants du Neuro-psychisme, avec nervosisme, sympathicotonie, instabilité caractérielle, parfois syndrome dépressif (possibilité de voir quelques schizophrènes de nature tuberculinique).
    • Troubles du système digestif fréquents, dyspepsies, souvent hypertrophie hépatique plus ou moins marquée, douleurs abdominales imprécises, crises pseudo-appendiculaires ou encore, des manifestations entérocolitiques.

      Toutes ces manifestations ont un caractère chronique et récidivant.


    Le système locomoteur peut être touché. Il s'agit d'un rhumatisme inflammatoire, souvent une tendance à la localisation oligo-articulaire, d'autres fois, il peut s'agir d'un rhumatisme chronique pouvant simuler une PCE.

    Localisations cutanées assez fréquentes : érythème noueux, érythème induré de Bazin, d'autres lésions cutanées décrites par les dermatologues sous le nom de tuberculides, et même certains eczémas, et certains érythèmes polymorphes.

    Grande fréquence des troubles respiratoires qui peuvent se présenter sous des formes multiples : rhumes banaux mais désespérants par leur ténacité et leur caractère récidivant, trachéobronchites traînantes et récidivantes, pneumopathies aigues, congestions pulmonaires, pleuro-pneumopathies, pleurésie séro-fibrineuse.

    L'asthme tuberculinique doit être bien connu en raison de sa grande fréquence.

      Il revêt les caractéristiques suivantes:
    • répétition anormalement fréquente et prolongée des accès dyspnéiques
    • importance de l'élément bronchique et exsudatif
    • intrication avec d'autres manifestations pulmonaires ou cortico-pleurales
    • crises fébriles
    • rareté des facteurs exogènes
    • rareté des métastases
    • association fréquente avec d'autres manifestations de tuberculinisme

      Une de ses formes cliniques particulière est la dyspnée d'effort

    Déminéralisation fréquente, avec ses corollaires : amaigrissement, frilosité, déshydratation, constipation chronique importante, fatigabilité, manque de résistance

    Le caractère essentiel de ce terrain est donc son extrême variabilité, son polymorphisme d'expression clinique. Un autre caractère est !'évolution avec sa ténacité, et aucune tendance vers la guérison spontanée en !'absence d'un traitement approprié. Le tuberculinisme héréditaire touche le foie de manière congénitale avant tout autre organe.

    Le tuberculinique est un prédisposé à la tuberculose.


Le
cancerinisme


          Il reste à déterminer, isoler et décrire les signes et caractéristiques des autres miasmes...

Comme dans tout traitement visant à éliminer les symptômes extérieurs, les médications lourdes en allopathie ont empêché la guérison des miasmes chroniques et, par conséquent, des stades d'évolution que contient tout processus de guérison. L'être humain, ressentant moins ses souffrances grâce aux traitements contre ses symptômes, n'en est pas pour autant soulagé d'un mal qui devient de plus en plus profond.

Comment nous libérer de ces mémoires cellulaires ?

L'association des quatre thérapies et interventions suivantes (conjointement ou successivement,
selon les cas et en respectant bien les protocoles) permettent d'obtenir des résultats spectaculaires.

1 - L'isopathie Sanum permet de résorber les enkystements, de ramener les organites dans une forme non pathogène et de nettoyer profondément l'organisme sur le plan physique.

2 - L'homéopathie (sous la forme DSTH = carte/patch de désintoxinhoméopathie) va "effacer" les mémoires et toxines "enrégistrées" au niveau cellulaire.

3 - Un nettoyage énergétique sérieux et en profondeur, incluant la recherche et l'élimination TOTALE de toutes les "entités" parasites...

4 - Un travail en psychogénéalogie va terminer le travail et ramener la paix et l'harmonie dans le subconscient en remettant l'individu à sa juste place dans sa famille, sa "tribu", la société passée et actuelle, et en le déculpabilisant...

Eliminer les "miasmes" est très important. C'est bien sûr se guérir soi-même, mais c'est aussi guérir sa famille (descendants et ascendants) et participer à la guérison de l'humanité...
.





On retrouve une description de l'action des miasmes, de leur évolution et des traitement possibles
sur le site isopathie Sanum - (Dr Philippe-Gaston Besson),

Les formes colloïdales (PROTITES) des champignons des espèces MUCOR RACEMOSUS FRESEN et ASPERGILLUS NIGER VAN TIEGHEM ont été présentes dans les organismes humains et chez tous les mammifères depuis des millions d'années.
Ils sont à l'origine de formes plus évoluées, dont les processus de développement ont été étudiés par le Pr Enderlein.
Dans les organismes sains, ils vivent sous leur forme primitive et participent en symbiose au métabolisme de l'organisme hôte.
Divers facteurs (infection, alimentation erronée, environnement agressif, dépression, vieillissement...) peuvent être responsables de l'évolution de la forme colloïdale primitive en des formes de développement plus avancés. Ces formes se comportent alors comme des parasites et deviennent agressives pour les tissus de l'organisme hôte.

Elles sont visibles et peuvent être observées à l'examen microscopique sur fond noir.

Après plus de 40 années d'une recherche intensive, ayant réussi à observer les différents stades de transformation des parasites sous leurs diverses formes, le Pr G. Enderlein découvrir les moyens thérapeutiques pour les combattre.

Cela mena à la notion d'ISOPATHIE qui peut se résumer ainsi :
Ce micro-organisme qui a envahi la totalité des espèces de mammifères il y a des millions d'année a été dénommé par le terme d'ENDOBIONTE par le Pr Enderlein.

La présence de Aspergillus Niger van Tieghem et de Mucor Racemosus Fresen doivent ainsi être comprise comme étant à l'origine de nombreuses pathologies.
Ces processus pathologiques latents se manifestent au début sous la forme de perturbations fonctionnelles variées, qui semblent n'avoir aucun rapport entre elles : Maux de tête, variation de la pression sanguine, mauvais état général, fatigue inexpliquée, manque d'appétit, pâleur, langue chargée, apparition de taches cutanées, d'excroissances, catarrhes, troubles du transit intestinal, dépression, manque de concentration, baisse de la mémoire...

Toutes ces manifestations apparemment dissociées sont les symptômes généraux qui appartiennent au tableau général de l'endobiose. C'est ce que l'on nomme communément des "patraqueries" qui encombrent la vie quotidienne de beaucoup d'individus. Nous sommes ici au stade fonctionnel de la maladie, qui correspond à l'intrication de plusieurs cycles de développement de l'endobionte, mais encore à des stades peu évolués.

On peut schématiquement dire que les manifestations principales de l'endobiose se manifestent préférentiellement par :

1. Des troubles du système veineux et artériel.
2. Des troubles du mésenchyme et des tissus synoviaux (géloses, rhumatismes, arthrites, spondyloses) secondaires à des troubles chroniques de l'équilibre acido-basique.
3. Des troubles de la circulation lymphatique
4. Des troubles métaboliques de surcharge (diabète, goutte ...)
5. Des troubles de la respiration cellulaire (hypoxie)
6. Des troubles qualitatifs de l'hématopoèse
7. Des troubles irritatifs du système nerveux sympathique.

L'endobionte est très résistant. Les médications chimiques ne peuvent le détruire, et elles agressent beaucoup plus l'organisme que l'endobionte !

Les formes primitives peuvent supporter de hautes températures dans une ambiance sèche, ainsi que de très basses températures, sans être détruites.

Les chercheurs ont prouvé qu'il était possible d'isoler des endobiontes encore actifs à partir de prélèvement fait sur des momies de plus de 5000 ans ! Les restes humains trouvés dans de vieilles tombes sont entièrement transformés en spores de Mucor Racémosus Fresen. Ces découvertes ont amené Enderlein à penser que l'endobionte était pratiquement indestructible.

Si tel est réellement le cas, il est compréhensible qu'il n'existe qu'une seule possibilité de contrôler son développement : l'information biologique.

L'utilisation de remèdes isopathiques correspondant à chaque cycle, mais proposé à l'organisme au stade de CHONDRITE provoquent un processus de réversion évolutive des formes les plus évoluées.
Il se produit ainsi un retour à un état symbiotique, et à des conditions biologiques normales d'homéostasie.

Les déchets provoqués par ce processus de réversion pouvant alors être éliminés par les voies d'élimination normales de l'organisme (voies urinaires, bronches, peau, intestin...)




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